Après avoir lu un article comme je les aime et les commentaires sur la maigritude (“Sois belle et sois toi” en lien sur cette page), je vous délivre mon point de vue _ tout à fait personnel et à ma manière _ sur le sujet tout en essayant de répondre à la question persistante du « slim ou boy Friend’s ? »

En raison de problèmes de santé, j’ai perdu pas mal de poids sur les 10 derniers mois... En fait, moi qui avais toujours « juste 2-3 kilos à perdre », ça ne m’arrange pas du tout, mais alors, pas du tout !!!

Mes slims, que je comptais fermement porter et re-porter cette année...

                                        ...sont tous devenus des Boy Friend’s jeans !

Alors, vous penserez sans doute que c’est une chance, puisque hop, je perds du poids et reste dans l’mouv’ en même temps, sans me priver ni dépenser ?!!!!

Mais, Quid de mon super Pat’d’Eph, tellement bien coupé, moulant jusqu’au genou et venant s’évaser très largement sur les pieds ?

Celui qui me donnait 20cm de plus en taille (pas en tour), en raison des compensées-talons avec lesquelles il faut le porter (+10cm) et de l’effet d’optique de l’ensemble (+10cm)... (10+10=20, pour les nuls/les en calcul, je sais, je l’ai fait à la calculette !)

Ma solusse-secours :

mon Paul & Joe intemporel et extrêmement bien coupé, ou devrais-je dire « mes » car acheté en double dans des tailles différentes pour parer à l’éventualité d’une variation pondérale !

(les malheurs de loli...)

Voici l’histoire véridique de Robin, un chat de l’île de Man (ou Manx).

(photo copiée sur internet)

Ma Grand-Mère adorait les animaux et en a toujours eu (chats, chiens, perruches etc...) Quand son chat, que j’avais connu dès mon enfance, Jérémy est mort, elle ne souhaitait pas en prendre un autre, tant la personnalité de l’animal et le chagrin de la perte étaient forts.

Un jour, alors qu’elle s’occupait de son jardin, un tout jeune chaton lui est tombé sur la tête, littéralement. Remise de sa surprise, elle l’a observé : c’était un chat tigré, une sorte de gouttière, avec les pattes arrières plus hautes que les pattes avant et en guise de queue, une sorte d’excroissance tordue...

Elle en a pris soin, tout en recherchant activement dans le quartier ses propriétaires.

Aucune piste...

Deux mois plus tard, le chaton avait grandi et était toujours là, bien installé, il avait adopté ma Grand-Mère.

C’est alors qu’un appel du vétérinaire (à qui elle avait parlé de ce chaton égaré) l’informa du nom des primo-propriétaires.

Elle les contacta bien-sûr, et appris l’histoire et les origines de l’animal :

C’était un Manx, dont cette famille préservait la lignée et dont la caractéristique était d’avoir, toutes les 2 générations le petit bout de queue typique de cette race, tordu...

Vu le temps écoulé, ils souhaitèrent que ma Grand-Mère le garde avec elle, puisqu’il était déjà et fort bien adapté.

Ma Grand-Mère le nomma Robin, puisque d’un arbre il était tombé...

Pourquoi avait-il échoué chez-elle ? Le hasard ? Ou peut-être une certaine forme de lien atavique et diffus ? Les origines de ma Grand-Mère se trouvaient, pour une part, venir de cette même île de Man, qui fut celte, scandinave, puis britannique...

Un article en souvenir de ma Mamie